Diaz. Le film (Italia 2012 – Daniele Vicari)

de Fabio Migneco

– adaptation linguistique de l’italien au français de Monique Behonh –

(immagine da http://blog.screenweek.it/)Un film important celui-ci, dans le bien et dans le mal. Parce qu’aussi en n’étant pas parfait, ou un chef-d’œuvre c’est un film nécessaire, qu’il tape dur à l’estomac et à la tête. Comme il devait et il ne pouvait pas être autrement. Parce que c’est pas possible que le cinéma italien produise comédies plus ou moins frivoles seules et film d’auteur plus ou moins ombilical maintenant. Film comme celui-ci ou ce de Jordanienne, ou jusque à ce de Sollima, Acab soit aussi orienté plus typiquement à un discours spectaculaire, d’amusement premier encore que de dénonciation, ce sont les bienvenus et on il espère toujours que les bulldozers deviennent, pour être la règle et pas l’exception à elle, bien qu’heureux. Vicaires il centre, au quatrième lungometraggio, une pellicule hostile absolument, (d)al panorama cinématographique italien pas acclamé au hasard au Festival de Berlin. Et le fait avec rigueur et maîtrise technique, courage et avec aux épaules une production digne enfin de ce nom, qu’il pense et il fait les choses en grand, avec souffle international absolument, un applaudissement aussi à tu Procures donc, depuis les débuts partisan d’un cinéma pas banal qu’il revient à s’éloigner  vivaddio  de quelques choix plus fighette et espèces pseudo-radical-chic dans les derniers ans. Aucun réponse – nous n’è peut-être une qui aie un sens?   et beaucoup de questions que depuis lors ils grondent, il y a onze ans et que le metteur en scène met en bouche ou dans les têtes des personnages, beaucoup de, sur tous les fronts, interprété par acteurs plus ou moins incisives célèbres, mais presque tout, aussi avec peu de temps à disposition, dans un réseau narratif bien agencé de lequel transparaît que tous croyaient dans le projet et dans la nécessité de raconter cet événement, en lui faisant rebondir de l’écran jusqu’à nous spectateurs. Les polémiques inévitables qu’ils accompagneront le film nous les laissons aux vides talk-show toiles préjudiciables, mais en ce qui concerne la violence de quelques images Vicaires il devrait être défendu à l’épée il traite parce que, il s’est jusque à contrôlé très probablement en le réinventer tout ce qu’a été succédée dans l’école et dans la caserne de Bolzaneto, malgré j’aie examiné pages et pages de procès-verbal et actes procéduraux.

 

Et’ un chapitre honteux de notre histoire récente et il devait être raconté sans demi termes. Il ne fût pas que pour ce Diaz il devrait être projeté partout, non seulement dans les écoles comme lui suol dire.

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